Tatouage japonais : ceux qui me connaissent savent que j’ai trois amours dans ma vie, le Japon, les jeux video et les tatouages.
Moi même tatouée, pour moi le corps est avant tout un espace de libre expression.
Désireuse de refaire l’un de mes tatouages, j’ai décidé de le « japoniser » et de rendre un nouvel hommage à mon pays de coeur.
En quête d’un nouveau motif et d’une source d’inspiration, j’ai décidé d’écrire un petit article sur le tatouage traditionnel japonais !
Quitte à se documenter autant en faire profiter la communauté !

Si comme moi les tatouages japonais vous fascinent … suivez France Japon et venez découvrir avec moi cet art subtile et ancestral

Le tatouage traditionnel japonais dit Irezumi (入れ墨)

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copyright /thehannyamask.tumblr.com tatouage japonais

Au-delà du tatouage, il y a l’ « Irezumi » ou le tatouage traditionnel japonais.
Reconnaissable par ses formes et ses traits si particuliers, l’Irezumi a pour objectif de couvrir une partie ou l’intégralité du corps du tatoué (poitrine, bras, cou, fesses … )

Le tatouage au Japon, un art controversé pas vraiment apprécié

Tandis que les occidentaux affichent avec fierté et sans aucune gène le moindre de leurs tatouages en forme de petit cœur ou d’étoiles, les japonais quant à eux cachent avec pudeur les motifs qui les recouvrent.
Que ce soit de l’Irezumi ou des tatouages plus modernes, tous sont très mal perçus au Japon.
Même si j’ai croisé plusieurs jeunes japonais tatoués, on sent que ce n’est pas un art anodin et populaire là-bas.
Historiquement pratiqué par les yakuzas et les classes populaires, le tatouage est très mal accepté par la société japonaise.
D’ailleurs, énormément d’instituts publics au Japon comme les onsen ou les bains publics refusent des clients ayant des tatouages.

france japon tatouage japonais yakuza Irezumi

Le tatouage japonais à travers l'histoire

Les Aïnous : un peuple méconnu qui a initié l'art du tatouage au Japon

Peuple aujourd’hui en voie d’extinction, les Aïnous seraient les premiers habitants du Japon.
Pêcheurs, artisans et chasseurs, les Aïnous auraient commencé leur périple au nord du Japon pour ensuite migrer vers la Russie, pour revenir vers Hokkaido, les îles Kouriles, Sakhaline et le sud de la péninsule du Kamtchatka.
D’après de nombreuses recherches effectuées par les archéologues, les Aïnous (hommes et femmes confondus) utilisaient le tatouage pour se protéger des mauvais esprits mais également dans un but esthétique et social.
Pour les femmes, le fait de se faire tatouer le bord de la bouche jusqu’au joues signifiaient qu’elles étaient mariées.
Les hommes quant à eux, se faisaient tatouer pour signifier leur appartenance à un clan spécifique ou à un corps de métier.
Parce que les chinois furent les premiers peuples à témoigner sur les Aïnous, les récits recensés sur ces derniers sont plutôt péjoratifs.
Assimilé à de la torture et à un acte barbare, le tatouage a très vite eu mauvaise réputation.
Avec l’essor du bouddhisme au Japon, et avec lui, la pensée chinoise, les tatouages eurent également des connotations négatives au Japon.
Très vite le tatouage fut dévié de son objectif premier pour être assimilé à une punition.

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Ainsi, les autorités japonaises prirent pour habitude de tatouer autour du bras des criminels un cercle ou sur leur front un caractère spécifique afin de les identifier et les punir pour leurs actes.
Remplaçant l’amputation du nez et des oreilles qui étaient en vigueur à l’époque, les malfaiteurs se voyaient infliger un autre type de punition physique qui se voulait indélébile.
Il est à noter que le tatouage des criminels a continué jusqu’en 1870 jusqu’à être aboli par le gouvernement japonais durant l’ère Meiji.

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Le tatouage japonais durant l'ère d'Edo (1603 à 1867)

Durant l’ère Edo, le tatouage japonais fut codifié pour mettre en exergue deux types de tatouages, un dit noble, l’autre crapuleux et réservé aux criminels .
Cependant, malgré cette codification ce dernier continuait de souffrir d’une image négative auprès des populations à cause des autorités qui continuaient de tatouer tous les criminels avec un marquage indélébile.
Avec l’augmentation de la masse populaire dans les grandes villes et l’essor de la criminalité, les tatouages devinrent de plus en plus nombreux.
Néanmoins, en parallèle de ces pratiques répressives on a pu assister à l’émergence d’un nouveau courant de pensées qui consistait à utiliser le tatouage en tant qu’art décoratif et symbole d’union.
Ainsi, il n’était pas rare de voir des amants se faire tatouer sur les mains des moitiés de motifs qui ne seraient complétés que quand les deux êtres joignaient leurs mains.
Qu’il soit punitif ou purement décoratif c’est à cette période que le tatouage japonais connu un développement important surtout avec l’amélioration des techniques d’impression sur bois.
Autre élément clé qui a contribué à l’essor du tatouage japonais, le roman chinois Suikoden.

france japon tatouage japonais suikoden

Narrant l’histoire de 108 personnages (juristes, paysans, marchands, guerriers, officiers …) aux vies et parcours tous différents, ces derniers vont se retrouver confrontés aux mêmes injustices et persécutions liées à un gouvernement corrompu.
Parce que ces derniers ont soif de justice, ils vont se réunir pour lutter contre une autorité persécutrice.
Représentés pour la plupart avec des motifs en forme de dragons, de tigres, de fleurs ou autres créatures mythiques …. Suikoden fut un succès populaire qui contribua à une forte augmentation du nombre de demandes en tatouages.
Utilisant les mêmes techniques que pour les impressions sur bois, les artistes sur bois reprirent les mêmes outils pour tatouer les hommes.
Parmi les matériaux les plus représentatifs on peut trouver l’encre noire de Nara qui était réputée pour offrir des teintes bleu / vert sur la peau des tatoués.
Cependant, même si le tatouage japonais se popularisait il restait très controversé et la symbolique liée à son utilisation variait en fonction des classes et des métiers.
Exemple, les prostitués se tatouaient pour s’embellir auprès de leur clientèle.
Certains corps de métier dits dangereux se tatouaient pour illustrer leur activité et s’offrir une protection spirituelle.

Le tatouage japonais dans l'ère moderne

Avec l’essor de l’ère Meiji et l’ouverture du Japon sur l’occident le gouvernement japonais condamna fermement l’utilisation du tatouage le cantonnant aux criminels et hors la lois.
Cependant, beaucoup d’ occidentaux furent fascinés en découvrant cette pratique.
Malgré le fait que le gouvernement condamnait la pratique du tatouage pour conserver une image lisse auprès des autres continents, les étrangers se mirent à affluer pour s’initier à cet art ancestral.
Parce que non autorisé par le gouvernement, le tatouage se pratiquait dans le plus grand secret.
Il faudra attendre 1945 pour que les forces de l’occupation le légalise.
Cependant, il continua de souffrir de son image négative car les criminels et milieux mafieux n’avaient jamais cessé de le pratiquer.
Parmi eux, les yakuzas.

Le tatouage japonais et les criminels (bakutos et yakuzas)

Pratique répandue au sein de la communauté des yakuzas, le tatouage est pour eux un rituel fort en symbolique et une véritable fierté.
Avec une importante majorité de mafieux tatoués, chaque grande famille ou clan possède ses propres motifs (un peu comme des armoiries).
D’un point de vue historique, les yakuzas ont repris ce rituel en s’inspirant des bakutos (博徒) les précurseurs des yakuzas.
Joueurs professionnels de hanafuda et de dés durant les années 1700 jusqu’au milieu du 20em siècle, les bakutos avaient pour habitude de se tatouer un cercle noir autour de leurs bras à chaque crime commis.
Sillonnant tout le Japon pour s’adonner à leur pratique, les bakutos étaient considérés comme des parias et des hors la lois.
Au fil des ans, les bakutos se sont regroupés en « clan » et ont diversifié leurs activités.
Beaucoup devinrent usuriers, pratique qui sera également reprise par les yakuzas.
Plus tard, ils se rassemblèrent avec les tekiya (les colporteurs) pour créer une nouvelle criminalité.
De nos jours, le terme bakuto n’est plus utilisé et la plupart de ces derniers ont finalement été absorbé par des clans plus importants.
Aujourd’hui, ce sont les yakuzas qui règnent et sont les dignes représentant des bakutos.
Fier d’exhiber leurs tatouages, ces derniers sont à l’image de leur clan, de leurs crimes et de leur courage.
Par cette marque indélébile ils jurent fidélité à leur clan et à leur mode de vie.
Marque de fabrique et apanage des yakuzas, les tatouages font parties de la culture des mafias japonaises.

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Le tatouage japonais de nos jours

Parce que le fait de se faire tatouer à longtemps été associé à un acte criminel, le tatouage au japon n’est pas aussi populaire et pratiqué qu’en occident.
Généralement, les japonais qui se tatouent privilégient des petites formes (tribales ou occidentales) qui peuvent être achevées en une séance.
Pour ce qui est de l’irezumi, ce type de tatouage est moins courant car cher, long et douloureux à réaliser.
Ainsi, un irezumi sur l’ensemble du corps peut couter jusqu’à 28 000 euros et nécessiter plusieurs années de tatouages.
Pour ceux qui souhaiterait se faire tatouer de manière traditionnelle, il faut savoir que même si les outils se sont modernisés, la technique de réalisation reste traditionnelle et inchangée depuis plusieurs siècles.
Réalisé par des professionnels de haut niveau, cet art est difficilement accessible au grand publique.

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Formé depuis des années par des maitres expérimentés, leur art s’exerce dans un cercle assez fermé.
Pour trouver un tatoueur traditionnel qui accepte de vous tatouer dans les règles de l’art, il faudra bénéficier d’un bon bouche à oreille.
Formé par un maître tatoueur, ces artistes sont le fruit d’un apprentissage très long issu de plusieurs années de formations.
Allant du nettoyage de matériel, à la fabrication d’encres ou d’instruments, le future tatoueur se doit d’avoir une maitrise totale de son art et une parfaite connaissance des techniques de tatouages traditionnelles.
Beaucoup de tatoueurs traditionnels vont jusqu’à pratiquer sur leur propre chair pour s’exercer.
Ce n’est qu’après plusieurs années d’apprentissage et de pratique que ce dernier sera autorisé à tatouer les clients de son maitre.
D’ailleurs, c’est généralement le maitre qui donne à son disciple son future nom d’artiste tatoueur qui comprendra généralement le mot « hori » (cf le mot gravure en japonais) et une syllabe dérivant du nom de son maître ou un autre mot significatif.
Dans quelques cas, le tatoueur peut être amené à prendre le nom de son maître.
Enfin, il est à noter que les artistes tatoueurs signent généralement leur œuvre une fois le tatouage achevé.

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@credit http://thehannyamask.tumblr.com

Techniques liées à l' irezumi

Pour ceux qui aimeraient se faire tatouer dans les règles de l’art, sachez que la technique liée au tatouage japonais est assez douloureuse car effectuée de manière traditionnelle.
En effet, on va vous insérer l’encre sous la peau à l’aide de multiples aiguilles qui seront fixés sur un bâton en bambou ou en acier inoxydable.
Long et fastidieux à réaliser se faire tatouer un irezumi sur l’intégralité du corps nécessitera plusieurs mois ou années de travail.
En fonction de l’effet désiré, le nombre et l’épaisseur des aiguilles différera.
Technique de tatouage unique en son genre l’ irezumi fait en sorte que le motif couvre le corps tout en restant discret.
En effet, si vous optez pour un tatouage complet, vos mains, vos pieds, votre cou, et une bande centrale au milieu du torse resteront intacte.
De ce fait, quand vous êtes habillé rien ne transparait.

Lexique lié aux terminologies du tatouage japonais

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Les formes et motifs les plus représentées sur les tatouages japonais

Art ancestral aux nombreuses symboliques, les tatouages japonais mettent souvent à l’honneur des motifs ou images ayant une signification bien précises.
Ainsi, la carpe est souvent tatouée pour symboliser le courage.
La fleur de cerisier quant à elle, symbolise le caractère éphémère de la vie.
Ensuite, la chrysanthème symbolise la détermination tandis que la pivoine représente la richesse.
Enfin, il n’est pas rare de trouver des dragons, des images inspirées d’estampes et des effigies de Bouddhas.

Le tatouage japonais en vidéo

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Sur ce, je m’en vais réfléchir à mon nouveau tatouage !
Merci à vous tous !

いつもお読みいただきありがとうございます

A bientôt et vive le Japon !

Sabrina

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Showing 4 comments
  • Ondori
    Répondre

    Très bon article, bien documenté et intéressant. Je vais me permettre quelques remarques et nuances si tu me le permets!

    D’abord à propos des Yakuza. On dit qu’aujourd’hui, bien peu le sont, pour diverses raisons. D’abord c’est bien souvent se tirer une balle dans le pied, les mafieux d’aujourd’hui n’ont aucun intérêt à se distinguer de cette manière. Il se trouve que cette pratique met en exergue des valeurs qui leurs parlent (engagement/dévotion, courage face à la douleur), mais n’a jamais été une prérogative d’aucun clan. Et puisque coûteuse, c’est souvent les plus hauts placés qui ont recours à des irezumi imposants. Et on sait bien que les plus hauts placés sont loin d’être la majorités des Yakuza.

    En tant qu’habitué des salons de tatouage ici au Japon, je voudrais aussi nuancer cette phrase : « Généralement, les japonais qui se tatouent privilégient des petites formes (tribales ou occidentales) qui peuvent être achevées en une séance. »
    Certes le tatouage décrit comme « fashion » ici, prend de l’importance, mais il y a tout de même une très forte présence de grandes pièces, traditionnelles ou Neo-trad chez les passionnés nippons. Ceux qui aiment le tatouage ici sont conscients du poids culturel qu’il a et se dévouent volontiers totalement à cette pratique. Je serais bien en peine de donner une proportion, mais je ne dirais pas que le tatouage fashion est la pratique « générale ».

    Enfin, dernier petit point sur l’irezumi et la technique trad. La question de la douleur est très souvent mal dégrossie. Le « tebori » qui est donc le tatouage à la main, n’est pas à proprement parler plus douloureux que celui à la machine. La douleur est différente, pour une raison simple : le rythme. Certes le mouvement du tebori est spectaculaire, et le son qu’il produit peut l’être aussi. Mais le rythme lent des percussions permet une gestion de la douleur différente. Un dermographe qui percute à 35000 frappe par minute traumatise bien plus la peau du tatoué. Il suffit pour s’en convaincre de se faire tatouer à la bobine puis à la rotative en basse fréquence pour sentir cette différence de douleur. Il est bon aussi de savoir qu’une grande majorité des tatoueurs traditionnels utilisent aujourd’hui le dermographe pour le tracé. Le 100% tebori existe encore mais est plus rare.

    En tout cas super article, et pour aller un peu plus loin sur le sujet, je me permets de l’auto-promo car j’ai un peu écrit sur ces sujet…

    Sur Inkage :
    Japon : la tatouage encore marginalisé : [inkage.fr]/blog/japon-le-tatouage-encore-marginalise/

    Illustration par l’exemple…
    Une fonctionnaire Japonaise reçoit une amende pour un tatouage : [inkage.fr]/breve/une-fonctionnaire-japonaise-recoit-une-amende-pour-un-tatouage/
    Il combat la discrimination envers les tatoués : [inkage.fr]/breve/il-combat-la-discrimination-envers-les-tatoues/

    Ma sélection de 7 artistes majeurs du Kansai :
    partie 1 : [inkage.fr]/blog/7-artistes-incontournables-de-la-region-kansai-partie-1/
    partie 2 : [inkage.fr]/blog/7-artistes-incontournables-du-kansai-partie-2/

    Présentation plus poussée de Gakkin, un de mes tatoueurs, et surtout un des visages du tatouage japonais d’aujourd’hui : [inkage.fr]/blog/les-tatouages-noirs-de-gakkin/

    Côté documentaires et média…
    L’incontournable « La Voie de l’Encre » de Pascal Bagot, dont je fais une présentation ici : [inkage.fr]/blog/la-voie-de-lencre/

    La première partie de l’épisode du « Gypsy Gentelman » au Japon -en anglais seulement- (on attend la partie 2 avec impatience…) : [vimeo.com]/71126278

    Présentation du manga « Irezumi » par le tatoueur français Tohibiki et son apprentie Shakki : [inkage.fr]/blog/irezumi-un-manga-ne-de-lencre-de-tatouage/

    et mon interview de cet artiste, seul français à pratiquer sur Paris du tebori 100% (contours compris ;)) : [inkage.fr]/blog/interview-du-tatoueur-tohibiki-sensei/

    Y a déjà de quoi faire, mais il reste de la lecture sur mes blogs perso :
    A propos du tatouage en général : Le Support et l’Encre : [lesupportetlencre.wordpress.com]
    A propos de la vie quotidienne au Japon : Le Coq et le Cerisier : [lecoqetlecerisier.wordpress.com]

    Bravo et merci pour ce bel article!
    A bientôt.

    • La petite Française de France Japon
      Répondre

      Merci beaucoup pour ton commentaire très riche Ondori !
      J’adore !
      Tous les contenus pour enrichir un article sont les bienvenus !
      Tu as une expérience très riche aussi je suis contente que tu ais accepté de la partager avec nous !

      PS : j’ai même mis à jour l’article en fonction de tes remarques très pertinentes

      Merci à toi !

      Sab

  • Redb
    Répondre

    Bonjour,
    Pour ma part je ne peux que vous conseiller Haku Psychôse.
    C’est une française qui travaille au salon Shi Ryu Doh à Tokyo. Le staff parle japonais, anglais et français.
    Tres pro et à l’écoute de ses clients, pour ma part j’ai été ravi de son travail.
    Vous pouvez la trouver sur les réseaux,
    je me permets de laisser un lien pour faciliter les recherches.
    https://www.facebook.com/Haku-Psych%C3%B4se-218702031556341/?ref=bookmarks

  • VIGNARD Hadrien
    Répondre

    Pouvez-vous transmettre un récapitulatif des zones tatouées et leurs noms ? Je souhaite faire mon premier mais je veux vérifier que c’est une zone traditionnelle.

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